5 belles saisons
PY
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01 Céleste- PY 4:100:00/4:10
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02 Je pars 3:130:00/3:13
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03 J’attendais 4:170:00/4:17
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04 JO 4:160:00/4:16
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0:00/3:40
TOUS LES TEXTES sont écrits et déposés PAR PIERRE-YVES Bena
Céleste quand vient le silence de fait
Tes beaux discours n’ont plus d’emprises en moi
Céleste oui c’est à toi que je m’adresse
Quand dans le soir un peu trop tard je me confesse
Céleste si brillante que tu m’agresses
J’ai l’œil rougis par tes larmes dérisoires
Céleste tous les tourments en noir et blanc
Tu es ma seule confidente comédienne
Céleste je suis celui des soirs de fête, qui te prie quand le vent n’a plus rien à dire
Céleste oh oui céleste les beaux discours, j’ai tant prié pour les beaux jours que la pluie cesse
Mais rien ne presse, cruelle éclipse pour ainsi dire, toujours la même promesse, céleste
Céleste oh oui céleste les beaux discours, j’ai tant prié pour les beaux jours que la pluie cesse
Parcelle incandescente que nous deux
Aux reflets de mémoires conjugués de feux
Alors si tu veux m’éviter de tes yeux, alors alors alors je pars
Pour certains c’est toujours un jeu
Croiser du regard se révéler fougueux allez
Dis-moi si tu vas céder, c’est merveilleux voilà je pars
Comme un point une étoile, un frottement un vacarme, détonnant plein de charme
Tu n’es que poudrière, mais ou est donc la marche arrière, le beau geste barrière
Ressens tu l’étincelle, celle de mon cœur vaillant, un dépôt incandescent, je pars
Acharne-toi tant que tu veux
Pointant les nuances, allez refait un vœu
Et je sais que ça brule, panique à bord
Faisons tanguer tanguons le port
J’en veux pas de ta morale, et des fleurs de ton mal, j’avais du vague à l’âme
Tu n’es que poudrière, mais où est donc la marche arrière, le beau geste barrière
Ressens tu l’étincelle, celle de mon cœur vaillant, un dépôt incandescent, allez je pars
Tu défends ça résonne
Ai-je l’air d’un loup
C’est pourtant l’air que ça m’donne
Encore plus celle d’un fou
C’est pourtant l’air que ça m’donne
C’est pourtant l’air que tu m’donnes
Joanna pour un baiser de cinéma
J'me suis perdu
Soleil d été brûlures d'aimer
C est souvent comme ça
Face à face évident tombé des nues
une hypnose à ses lèvres
possédé par le souffle
La tempête devient fièvre
Comme un livre ouvert qui sent le souffre et l envie Qu on caresserait en hiver, pourtant soleil de minuit Briser le sens l'ordinaire
Joanna Les mirages autour de moi
J'me suis encore perdu
Du sable plein les mains
mais C est bien toi qui file entre mes doigts
Cogné par la maladresse et le saoul de tes mots
Que le soleil se couche j'ai 1001 nuits a te plaire
Comme un livre ouvert qui sent le souffre et l envie Qu on caresserait en hiver, pourtant soleil de minuit Briser le sens l'ordinaire
Joanna Jme suis perdu, jme suis perdu Un coup de soleil un coup du soleil Joanna
Mourir d’aimer sans combattre,
sans arme ni diplomate et oui j’attendais
Que nos peurs se dissipent, promesses volubiles confiance tardives, c’était toi que j’attendais
De nos soupirs sont partis ce matin, je voulais te l’écrire mais t’étais déjà loin
Je me demande encore si plier le destin
était chose facile, mais je n’en suis plus certain
J’étouffais, mal mais ça tu le sais je me rattraperai, peu importe les flammes qu’elles m’emportent si ça fait mal
De ce que nous avons pu crier,
qui s’en soucie, mais j’en ai payé le prix
Mon pire ennemi n’était pas bien loin,
un alter égo de cire, un ogre clandestin
Tu es partie sans rire, tu ne m’en veux pas c’est bien
Nous n’avons fait que fuir, c’est d’ailleurs mon quotidien
J’étouffais, mal mais ça tu le sais je me rattraperai, peu importe les flammes qu’elles m’emportent si ça fait mal
A mon étoile que j’ai oublié
Mon cœur s’éloigne, le réveil s’enflamme
Ou vont les larmes le temps d’espérer